Le régime Pastef s’est avéré incompétent et pleurnichard, demandant sans cesse aux Sénégalais de faire des sacrifices, tout en profitant eux-mêmes des avantages. Les budgets de la Présidence, de la Primature et de l’Assemblée nationale ont été nettement augmentés, en dépit des difficultés économiques que traversent les citoyens. Les salaires exorbitants des Directeurs Généraux (DG) et des Présidents des Conseils d’Administration (PCA), ainsi que leurs indemnités, viennent aggraver cette situation.
Face à leur incapacité à résoudre les problèmes des Sénégalais, ils manipulent les masses avec le rapport d’audit de la Cour des Comptes sur la situation des finances publiques*.
Ce document est non signé et inclut les dettes des entreprises nationales du secteur parapublic, qui dépassent les 1500 milliards de francs CFA.
Aucun élément ne prouve la falsification, le maquillage, ou un carnage financier* dans ce rapport.
Les recommandations ne mentionnent aucune poursuite judiciaire, mais plutôt des mises à niveau des différentes directions du Ministère de l’Économie et des Finances. Le Premier ministre Ousmane Sonko a dressé un tableau sombre de la situation des finances publiques, accusant le régime précédent de mensonges et de manipulation des chiffres. Il a évoqué des dépenses non justifiées et une dette publique élevée, mais la Cour des Comptes a confirmé la conformité des chiffres fournis par le gouvernement actuel avec ceux des lois de règlement pour la période 2019-2023*. En revanche, elle a relevé des anomalies et irrégularités sans pour autant recommander de poursuites judiciaires.
Les principales constatations de la Cour des Comptes sont les suivantes :>Tirages sur ressources extérieures supérieurs à ceux affichés dans le rapport du Gouvernement ;
>Encours de la dette supérieur à celui figurant au rapport du Gouvernement
;>Disponibilités du Trésor supérieures à celles indiquées dans le rapport du Gouvernement
;>Montant de la dette garantie supérieur à celui présenté dans le rapport du Gouvernement ;
>Déficits budgétaires supérieurs aux niveaux affichés dans le rapport du Gouvernement
;>Service de la dette bancaire hors cadrage non retracé dans le rapport du Gouvernement
;>Encours de la dette bancaire hors cadrage supérieur au montant affiché dans le rapport du Gouvernement.
Le régime Pastef a tenté de nuire à l’ancien régime, particulièrement au *Président Macky SALL qui brille à l’international, dans le but de se donner des arguments électoraux. En agissant ainsi, ils ont sacrifié le Sénégal et les Sénégalais. Les notes financières souveraines du pays vont encore baisser, entraînant des conséquences désastreuses pour les futures levées de fonds, que ce soit au niveau national, régional, ou international.
Les auditeurs de la Cour des Comptes n’ont décelé aucune situation susceptible d’être considérée comme du détournement de deniers publics. Cependant, Ousmane Diagne, le ministre de la Justice, a défini des infractions et des personnes à répondre devant les juridictions compétentes, contrairement à ce qu’auraient préféré certains, dont le ministre des Finances Cheikh Diba, comptable dans la gestion de l’ancien régime, qui préconisait des réformes structurelles ambitieuses pour la soutenabilité budgétaire.
La mauvaise foi, la haine envers l’ancien régime, l’absence de stature d’homme d’État, l’incompétence, et la manipulation ont conduit les dirigeants de Pastef à commettre des erreurs fatales. Pour des supposés patriotes, ils montrent clairement qu’ils n’aiment pas leur pays*. C’est une véritable tristesse de voir ceux qui prétendent agir pour le bien du Sénégal le détruire de cette manière. Cette situation montre combien il est crucial de choisir des dirigeants compétents et intègres, capables de mettre de côté leurs intérêts personnels pour le bien commun. Préparons-nous à endurer encore quatre longues années sous le régime Pastef, incapable de dégager des marges de manœuvre et de trouver les solutions aux problèmes du peuple sénégalais.
Par Dr Papa D. FAYE
Jog Nguir Sénégal Jotna
Sonko et Diomaye sont responsables ,ils envoyent le General Souleymane Kandè en Inde la terreur des rebels.