La pollution de l’air extérieur frappe lourdement les populations et les économies du monde entier. Elle tue environ 5,7 millions de personnes chaque année et coûte l’équivalent de près de 5 % du PIB mondial.
Des concentrations élevées de PM2,5 (particules fines), qui peuvent s’infiltrer profondément dans les poumons, sont nocives pour la santé humaine. Elles risquent aussi d’affecter les capacités cognitives et la productivité des individus et d’avoir des conséquences qui peuvent se répercuter sur plusieurs générations.
Réduire la pollution atmosphérique est déjà un enjeu de développement capital aujourd’hui et sera un impératif encore plus pressant pour favoriser la croissance et la prospérité futures.
Les sources
de la pollution atmosphérique
Des mesures politiques efficaces peuvent réduire la pollution de l’air extérieur qui provient principalement des activités humaines telles que la cuisine et le chauffage résidentiels alimentés à la biomasse, les transports, l’industrie et la production d’électricité, le brûlage des déchets à l’air libre et l’agriculture.
Une approche intégrée — par exemple, la conception et le séquençage de politiques permettant d’atteindre de multiples objectifs comme l’indépendance énergétique ou la baisse des émissions et la lutte contre la pollution atmosphérique — pourrait réduire de moitié le nombre de personnes exposées à des niveaux dangereux de pollution d’ici 2040.
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