Le Collecyif Ñoo Mank a fait face a la presse ce mardi 07 octobre 20e5 pour dénoncer la hausse des prix de l’électricité suite à la réception de centaines de plaintes des citoyens et non moins consommateurs.
Fatima Bakouly, Trésorière Ñoo Lank a rappelé l’histoire de la création de Ñoo Lank et le retour en service à cause du retour du phénomène.
Selon El Hadji Boubacar Ba, président de l’association des marchands détaillants, la cherté du courant dépasse tout entendement et impacte toutes les couches d’activités, des boulangers aux plus petits commerçants ou vendeurs de crème glace.
« Si cela continue attendez vous à voir la hausse des prix des denrées et de tous lrs produits de consommation: a averti le president des boutiquiers détaillants.
« Courant ni woyoful«
De son côté, le Secrétaire général du collectif Ñoo Lank, Seydina Malal Diallo, le constat est unanime malgré les fuites en avant des autorités dont la responsabilité edt engageeau premier chef. « Depuis plusieurs semaines, les populations se plaignent d’une explosion inexpliquée de leurs factures, de compteurs Woyofal qui se vident à une vitesse fulgurante et d’un coût de l’énergie devenu insoutenable. Dans les foyers, les marchés, les garages ou les petits ateliers, le même cri résonne : « Courant bi woyofoul ! » a d’abord explosé le SG de Ñoo Lank.
Poursuivant, Malal Diallo lance encore que » l’aveu récent du PCA de la Senelec, M. Habib Sy, selon lequel « les populations ont raison » et que la cherté du courant est bien réelle, vient confirmer ce que Noo Lank dénonce depuis des semaines. Les citoyens ne mentent pas, ils souffrent. Ils subissent le poids d’un système énergétique opaque, déséquilibré et profondément injuste »
Non sans rappeler que Ñoo Lank restera mobilisé, déterminé et fidèle à sa mission : défendre la justice sociale, la souveraineté populaire et le droit du peuple sénégalais à une vie digne.
« Sonko était membre de Ñoo Lank, on ne peut accepter la hausse de l’électricité au moment où le Sénégal est un pays pétrolier et gazier
Quant au coordonnateur de Ñoo Lank Mourtala SECK, il estime qye la situation est inacceptable et insoutenable par les citoyens devant un mutisme incompréhensible des autorités.
« Nous nous engageons d’abord dans une logique pacifique en interpellant les autorités le PrésidentdelaRépublique, le PremierMinistreOusmaneSonko qui etait membre de Ño Lank lorsqu’onetait en face du regime précédent, le ministre de l’énergie, le directeur de Senelec. Et malgré tout, rien ne bouge pour des discussions afin de communiquer aux populations les raisons pour lesquelles ces hausses sont constatées et les possibilités de solutions. Ce n’est qu’hier que le ministre de l’Energie nous a exprimé son souhait de discuter vendredi prochain. Mais le plus écœurant, c’est qu’au moment où les populations font face à plusieurs maux, les eaux de pluie qui ont pris possession des écoles à quelques heures de la rentrée des classes, certains acteurs politiques, des directeurs de sociétés nationales se permettent de souhaiter la prison à l’ancien chef de l’état, et non de voir les pisyes de solutions a ces situations quo empirent » a deflagré Mourtalla Seck.
Revenant sur linvite du ministre de l’énergie, Mourtalla Seck a lancé un avertissement très fort aux autorités.
« Nous avons été contactés par le ministre de l’énergie pour discuter vendredi. A l’issue de cette rencontre, si des solutions ne sont pas trouvées, nous allons confirmer notre manifestation pour la date du 17 octobre prochain dans toutes les artères du pays » a-t-il balancé.
Non sans s’offusquer de la situation qui prévaut surtout avec cette hausse de l’électricité alors que le Sénégal est devenu un.pays pétrolier et gazier. » Le ministre avait promis que prix du courant allait se 117frs à 60 frs le kwh. Mais jusque là, rien n’est fait. Il faut que les autorités nous expliquant ce qui se passe » a-t-il bombardé
